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la pensée théologique de Jean Calvin

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il est centré l'interprétation et la prédication du message biblique

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la moitié du corpus de Calvin consiste en ses sermons

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comment considère Calvin la Bible

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l'accent sur l'utilité de la Bible

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c'est l'Écriture toute entière qui compte pour Calvin, et pas tel ou tel passage, tel ou tel livre

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entre la Nouveau Testament et l'Ancien Testament, on ne passe pas d'une réalité à une autre réalité

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la substance entre l'Ancien et le Nouveau Testament ne change pas, n'est pas différente

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c'est très différent de la conception que beaucoup de nos contemporains ont du Nouveau et de l'Ancien Testament

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et c'est une différence par rapport à Luther

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quand il interprète l'idée du Christ comme la fin de la Loi, il va entendre le mot fin dans le sens de but, d'orientation

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après Calvin, il était la tradition protestante dans le monde francophone donner des prénoms de l'Ancien Testament aux enfants

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Gédéon, d'Abraham, de Rébecca, d'Elie, de Sarah

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selon Calvin, dans le Nouveau Testament il y a une manifestation plus claire, plus évidente, plus ample

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il a commenté tout le Nouveau Testament, par exemple, à l'exception de l'Apocalypse, le dernier livre de la Bible

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l'inspiration

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il faut ne pas projeter notre débats sur l'inspiration aujourd'hui dans le XVIème siècle; parce qu'il n'y a pas de fondamentalisme sans modernité, et Calvin est pré-moderne

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pour Calvin l'Écriture est inspirée

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l'Esprit a soufflé et continue de souffler à travers cette Parole

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cela ne signifie pas que tout y est factuellement correct, jusque dans les iotas du texte grec, ou les moindres détails du texte hébreu

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ce qui vise le salut est vrai

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entre les trois Évangiles synoptiques : Matthieu, Marc, Luc; il y a un bon accord; même si des aspects, notamment chronologiques, ou géographiques varient

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la Parole est un miroir de Dieu

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l'Esprit Saint qui dicte le contenu du message biblique

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Calvin dit de les anthropomorphismes dans la Parole

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l'accommodation de la manière dont Dieu s'accommode à l'entendement humain

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les Pères de l'Eglise des premiers siècles de l'Eglise parlaient d'allégorie pour expliquer ces notions de colère de Dieu, et cetera

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Calvin n'aime pas cette interprétation.

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Dieu ne change pas d'avis, Dieu n'est pas affecté par la colère.

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c'est-à-dire, le texte biblique fait recours à des analogies, à des métaphores et il faut le lire ainsi

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Dieu se met à notre niveau, pour nous permettre de comprendre quelque chose d'important au sujet de Dieu